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19 janvier 2006 4 19 /01 /janvier /2006 00:00
A en croire l’effervescence dans les magasins et dans les rues, les stands omniprésents de décorations, lampions, lanternes, et les déballages de jouets beaucoup plus importants qu’au moment de Noël... je peux vous dire que les festivités du Nouvel An Chinois approchent vraiment à grands pas.
 
Et pour cause.
 
Si en occident nous célèbrons le début de l’année le 1er janvier, les Chinois, eux, se réfèrent au calendrier lunaire qui par définition n’est pas fixe.
Cette année donc, le 1er jour de l’année chinoise tombe le 29 janvier, et 2006 sera sous le signe du chien !
 
A défaut de pouvoir vous donner un aperçu de l’ambiance qui règne à Pékin à quelques jours seulement du nouvel an, je vous offre un calamondin...
Mais de quoi elle parle la Cris ?! Pas de panique, il s’agit en réalité d’un oranger d’appartement.
                 
 
En effet, en cette période de l’année les fruits sont très importants, et outre les oranges et clémentines vendues n’importe où, on trouve ces arbustes un peu partout également.
D’une part parce que c’est la saison, mais aussi - et surtout – parce que les agrumes sont plein de sens au moment du Nouvel An.
 
Les oranges, symboles de bonheur et de longévité, sont offertes aux enfants.
Les clémentines, symboles de chance et de bon présage pour l’année à venir, sont servies en grandes quantités tout au long des festivités.
Et le calamondin a quant à lui une fonction plus décorative (bien que ses fruits puissent être consommés confits) : il promet prosperité et richesse à son heureux propriétaire !
                               
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16 janvier 2006 1 16 /01 /janvier /2006 00:00
Le lac de Houhai gelé hier, dimanche…
Des Chinois à perte de vue sur la glace…
            
 
Je veux bien croire que l’épaisseur d’eau solidifiée soit conséquente, mais jusqu’à quel point exactement… ?
Autant d’adultes et d’enfants avec tout leur attirail : chaises-ski, vélo-ski (notez, au passage, l’ingéniosité des engins), patins à glace, d’autres encore avec poussettes, chiens, tricycles…
 
                                                       le stand de location de "chaises-ski"...
 
Chacun est installé sur la glace, comme il le serait n’importe où ailleurs dans le parc : sa chaise, sa réserve de thé, une brochette de pommes acerola caramelisées…
 
Je sais bien que nos « aïeux » s’en donnaient à coeur joie sur les lacs français il n’y a pas si longtemps encore, mais… c’était avant le réchauffement de la planète non ?!
 
Bref, moi tout ce monde sur la glace prête à craquer ça me donne des accès de paniiiiique.
A croire que tous ces gens n’ont jamais lu ou vu (ils n’auraient donc pas connu mon institutrice de CM2 hystérique) « L’appel de la forêt » de Jack London… sinon ils se souviendraient du passage où la meute de chiens et le traineau tout entier sont frênés net dans leur course, de la glace qui se rompt d’un coup sec et violent, et de la difficulté qu’ils ont à s’extraire de l’eau glaciale (et encore, ils s’en sortent, eux !) ?!
Ca va mieux docteur, merci.
Aïe, je vous le disais, c’est phobique.
           
Hier, je me suis donc contentée d’observer depuis la berge… et c’était bien aussi, d’abord. :)
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15 janvier 2006 7 15 /01 /janvier /2006 00:00
La vilaine Cris tueuse de poisson est de retour !
 
Après avoir passé la semaine au fond de mon lit pour cause de grippe - non, pas celle du poulet, mais celle ramenée de France, ah ! - je peux enfin vous rassurer sur l’état de santé du petit poisson : c’est vif et frétillant comme jamais que nous l’avons retrouvé le week-end dernier.
 
Une semaine, donc, coupée de cette frénétique vie pékinoise au cours de laquelle il a même neigé !
Après avoir quitté l’aéroport Charles de Gaulle sous une tempête de neige, nous avons découvert nos premiers flocons chinois ce jeudi... mais le soleil les a rapidement fait disparaître, sans me laisser le temps de dégainer mon appareil photo.
 
Par conséquent, ma reprise bloggesque est plutôt cool, et en guise de transition, je vous propose ces deux photos prises dans le 3ème arrondissement parisien... où nous avons aperçu la préparation de funérailles chinoises
 
 
 
 
 
 
 
Elles sont facilement reconnaissables à leurs ornements floraux, typiques et impressionnants.
Souvenez-vous, je les avais déjà évoqués lors de notre séjour à PingYao !
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31 décembre 2005 6 31 /12 /décembre /2005 15:11
Merci à tous pour vos messages ! J’espère que vous avez passé un joyeux Noël.
Je suis sûre que chez vous aussi le réveillon de la Saint Sylvestre se prépare, et je vous le souhaite joyeux, festif et gourmand.
 
Je passe par ici coup de vent, j’avais une envie irrésistible de vous montrer quelques photos des vignes champenoises enneigées en cette fin d’année 2005.
  
Nous qui pensions trouver un peu de douceur en France… nous regrettons sérieusement les doudounes, gants et bottes abandonnées à Pékin !
                
 
Très bonne fin d’année à toutes et tous, et tous mes vœux de bonheur et de réussite pour 2006.
 
   
 
A très bientôt… !
 
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23 décembre 2005 5 23 /12 /décembre /2005 00:00
Ohlala, vous avez vu ça !?!
                  
 
Et oui, le calendrier de l’avent s’épuise sérieusement ; seule la fenêtre du 24 décembre est encore fermée (les chocolats étaient immangeables, j’ai du me résoudre à les jeter... à 16 RMB le calendrier, j’aurais du me méfier).
 
Bref, cela signifie que dans deux jours c’est Noël, et il qu’il est donc grand temps pour nous de rentrer en France.
 
Nous laissons à Pékin doudounes à capuche poilue, moufles fourrées et bottes en moumoutte... ainsi que « blue hawaï », notre combattant-bleu-prognathe (ce n’est pas flagrant sur la photo, mais si je vous le dis, croyez-moi).   
 
 
Notez par ailleurs que ce n’est pas à cause de ce dernier détail physique que nous l’abandonnons, nous ne lui avons tout simplement pas trouvé de « fish-sitting »... et puis après tout c’est l’occasion de tester réellement ses qualités combattives... Deux semaines, c’est vite passé, non ? (gniark gniark)
 
Je laisse donc ce billet s’auto-éditer comme un grand...
Pendant ce temps nous survolons la Mongolie si tout se passe comme prévu... (si j’aperçois un bout de l’Australie je commencerai à me poser des questions).
 
A toutes et tous, je vous souhaite de très Bonnes Fêtes de fin d’année
 et un Joyeux Noël, où que vous soyez.
 
Un Père Noël à Pékin, 22 décembre 2005...
 
Nous nous retrouvons en 2006 pour de nouvelles aventures !
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22 décembre 2005 4 22 /12 /décembre /2005 02:46
L’entrée du restaurant El Jardín de las Delicias donne directement sur le « night market » qui se trouve à l’extrémité nord de Wangfujing...
 
                       Wangfujing de nuit...
 
Celui qui attire de nombreux touristes en été est particulièrement calme en ce moment.
                    
 
Les stands de brochettes diverses et variées, d’étoiles de mer...
                        
 
... de bâtons de maïs croquant, de crêpes aux légumes, et de brochettes de fruits caramélisés tiennent bons malgré les températures frisant allègrement les -5 degrés en soirée...
 
 
 
Ca et là un couple de Pékinois se réchauffe autour d’une soupe de nouilles fumante ou d’un jus de maïs chaud... il faut bien ça !
                
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20 décembre 2005 2 20 /12 /décembre /2005 11:39
Oui je sais, encore un restaurant... mais depuis le temps qu’on l’attendait celui-là... !
 
En voilà un qui risque de faire de la concurrence au Courtyard.
Egalement situé non loin de la Cité Interdite (sur Wangfujing très précisément), même s’il s’agit là aussi d’une cuisine moderne et raffinée, les influences del Jardin de las Delicias sont très marquées... c’est l’Amérique Latine dans nos assiettes !
 
Le cadre est assez extraordinaire.
Après avoir dépassé l’entrée et ses fauteuils de velours bleu, on découvre un bar à « ceviche ». Mais si, vous savez bien de quoi je veux parler : poissons et fruits de mer marinés et donc « cuits » dans du jus de citron, agrémentés de divers aromates et épices.               
 
               
 
A l’entrée de la salle du restaurant, la cave à vin, dans sa cage de verre...
La salle en elle-même est toute en longueur, le plafond voûté, et des plantes tropicales ainsi que des reproductions du tryptique de Jérôme Bosch, « El jardín de las delicias » visible au Musée du Prado à Madrid, la décorent de façon originale.
 
L’ambiance est tamisée, cosy, et les murs recouverts de briques orangées donnent de la chaleur au lieu.          
 
             
 
Le décor est planté.
 
Très peu de tables étaient occupées pour un samedi soir, mais il faut savoir que le restaurant a ouvert il y a moins d’un mois. Aucune publicité n’a encore été faite, dans l’attente du « grand opening » qui devrait avoir lieu très bientôt, mais le bouche à oreille a son effet.
 
Passons aux choses sérieuses. Je vous ai parlé de l’Amérique Latine...
En effet, la composition des plats reprend les ingrédients qui font partie intégrante des cultures argentine et mexicaine, mais qui sont ici assimilés à une cuisine totalement contemporaine.
Chips de maïs, haricots rouges, ceviche, avocat, chiles, cacao, canelle, coriandre, fruits de la passion, mangues...
 
La plupart des plats proposés sur la carte ne sont autre que l’interprétation des recettes traditionnelles d’un chef vénézuelien, Edgard Leal, basé à Miami.
 
Une fois de plus j’ai particulièrement raté les photos de nos plats... alors vous n’aurez droit qu’à la description de ceux-ci.
 
En entrée, Cixi Pepiada pour moi : trois mini chips de maïs, surmontées, façon « sandwich » d’une mousse d’avocat (très proche du guacamole), de dés de poulet marinés au citron vert, et d’une crème aigre à la coriandre.
Pour Chris, des crevettes sautées à la coriandre et au chile... détonnantes.
Ensuite, le canard et sa sauce aux fruits de la passion et « mole » (mexicain par excellence, sauce à base d’épices et de cacao) m’a tapé dans l’oeil, accompagné de son risotto à la coriandre. Chris a pris un filet de bar braisé, servi avec des haricots rouges et une sauce tomate et coriandre.
 
Quant aux desserts, j’ai eu une pensée émue pour Mercotte lorsque le chef des desserts nous a dit, la bouche en coeur en apprenant que nous étions français, qu’il utilisait uniquement du chocolat français, le meilleur au monde, du Valrhona ! :)
Comment ne pas craquer alors pour le soufflé au chocolat noir et son centre coulant de chocolat blanc...
 
    
  Allez, deux photos ratées...                               Mojito !
 
J’allais oublier de vous parler des boissons !
La liste des cocktails est appréciable et leur mojito est extra. En ce qui concerne les vins, le choix est large là aussi, tant au verre qu’à la bouteille. Et l’on vous sert d’office de l’eau fraîche.
Ils ont également un choix intéressant de digestifs, d’infusions, et de thés... Mariage Frères !
 
Tout était donc parfait. Le service agréable et souriant, et la présentation des plats soignée et vraiment fantastique !
 
Pour le même standard de prix, le service est nettement supérieur à celui du restaurant « The Courtyard ».
Sans compter les amuse-bouche, le petit pain chaud accompagné de beurre et d’une quenelle de fromage de brebis aux herbes, ainsi que le tequilero de mojito en gelée suivant l’entrée, que l’on vous sert gracieusement...
 
J’ai beaucoup apprécié - ma passion invétérée pour le Mexique ne rend pas mon avis très objectif - Chris, lui un peu moins. Trop exclusivement « latino » à son goût, justement.
 
Mais j’y retournerai ! Pour le raffinement et la présentation des plats, pour le cadre et la déco, pour le côté latino et pour les desserts au choco... :)
 

El Jardin de las Delicias – Garden of Delights
Compter 400 RMB par personne, boissons comprises
 
53 Dong An Men avenue
(au niveau du marché de nuit, l’entrée est un peu en retrait)
Dongcheng district
100006 Beijing
Tel : (10) 5138.5688
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19 décembre 2005 1 19 /12 /décembre /2005 08:19
Je vous présente la petite boutique dans laquelle nous avions l’habitude d’acheter nos bonbonnes d’eau (ou « garafón » pour nos amis hispanophones...).
 
               
                 Pékin, octobre 2005.
 
La façade d’un rouge décrépi et aux bandes de plastique vert matérialise l’entrée des cuisines d’un restaurant local ; à côté, devant lequel se trouve un groupe de personnes, il s’agit d’un vitrier ; et à côté encore, on peut apercevoir « notre » marchand d’eau Nestlé, son tricycle de livraison garé devant la boutique.
 
Pour tout vous dire, l’eau distribuée par nos robinets pékinois provient de deux sources. Le réservoir Miyun (approvisionné par les rivières locales), mais aussi et surtout (à 70%) les réserves souterraines de la ville, plus riches en minéraux semble-t-il.
 
L’eau ainsi pompée est ensuite traitée dans l’une des 18 centrales de traitement de la ville, dont la dernière en date, pour vous donner une idée des équipements, est considérée comme la plus grande et la plus morderne d’Asie.
A la sortie de ces centrales, l’eau est alors purifiée et parfaitement propre à la consommation.
 
Mais, parce que tout cela serait trop beau et trop facile, le soucis réside dans le fait que les tuyaux par lesquels transite l’eau devenue alors potable sont rouillés, vieux, et qu’il y fourmille les plus vilaines bactéries.
Le temps d’arriver dans nos éviers... et la voilà de nouveau impropre à la consommation !
 
Remettre en état et remplacer les 6 300 kilomètres de tuyaux qui acheminent l’eau pour la ville de Pékin est donc un des nombreux projet qui a été mis en place en vue des J.O. qui auront lieu à Pékin en 2008.
 
               
                Pékin, quartier de Sanlitun, 18 décembre 2005.
 
Ce travail titanesque a débuté en 1999 et la municipalité aurait déjà dépensé 200 millions de RMB (environ 20 millions d’euros) rien que pour ce projet.
 
Pour le moment, les médecins et autres experts recommandent clairement de ne pas consommer l’eau qui sort de nos robinets, et c’est ainsi que l’on trouve des marchands et livreurs d’eau en bonbonne à tous les coins de rue, ou presque.
 
Pour la petite histoire, Chris est allé commander (le marchand livre à domicile, 5 gallons = 18, 9 litres, tout de même) un « garafón » le 6 décembre dernier. Lorsque je suis passée devant le magasin le 7 décembre, le lendemain donc, celui-ci n’existait plus !
 
                
                 Pékin, le 7 décembre 2005.
 
C’est courant à Pekin, tout change très vite... mais ça reste toujours aussi étonnant de découvrir toute une partie de rue et des magasins en ruines, démolis du jour au lendemain... c’est le cas de le dire !
 
Dix jours après, les derniers gravats ont été déblayés et un nouveau mur est en train de voir le jour...
 
                
                 Pékin, 19 décembre 2005.
 
De nouvelles boutiques vont-elles se construire ?
Le mystère est entier pour le moment, mais une chose est sûre, si un nouveau bâtiment doit voir le jour à cet endroit, nous n’allons pas tarder à le savoir !
 
Sources : Is Tap Taboo?, Insider’s Guide to Beijing 2005-2006
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16 décembre 2005 5 16 /12 /décembre /2005 09:26
Et voilà, on a touché les -10 degrés le week-end dernier à Pékin... et comme si ça ne suffisait pas, un vent glacial vient couronner le tout.
 
Alors en même temps que la bouillote, la bouilloire fonctionne désormais non-stop... thé de Noël, Earl Grey, Bois Chéri à la vanille, jasmin... il faut ce qu’il faut. Ca c’était pour le liquide.
 
Côté solide, pour ne pas entamer nos réserves graisseuses (oui, le froid, ça attaque, il ne faudrait quand même pas qu’on perde 500 grammes avant les Fêtes), j’ai décidé de faire des cookies. Des cookies chinois même.
Bon pour tout vous dire ils n’ont pas grand chose de chinois. Mais attendez, vous allez comprendre.
 
Je suis partie d’une recette basique. J’ai commencé par mélanger :
- 120 gr. de farine
- 1 cuillère à café de levure chimique
 
Auxquels j’ai ajouté (bien mélanger avant l’ajout du beurre) :
- 40 gr. de sucre
- 40 gr. de sucre roux
- 120 gr. de beurre mou (mais pas fondu !)
- 1 oeuf entier
 
Puis 120 grammes de chocolat noir que j’avais préalablement cassé à l’aide de mon mini rouleau à pâtisserie.
 
J’aurais pu m’arrêter là, mais ça me démangeait, il fallait que j’ajoute autre chose...
Rien ne m’inspirait jusqu’à ce que je tombe nez à nez avec un paquet de noix de pécan (« hickory kernel »), typiquement chinoises du fait qu’elles sont non seulement caramélisées mais aussi fortement salées.
 
                                         
 
Officiellement, c’est Chris qui mange ces bizarreries. Le goût est particulier et rappelle, en y réfléchissant bien, celui des caramels au beurre (très) salé.
Moi, deux éclats me suffisent. Lui mange ça comme des cacahuètes. Soit.
 
                            
                             Noix de pécan caramélisées, salées
 
Pour en revenir à nos cookies, j’ai donc ajouté 50 grammes de ces noix à ma préparation, ai bien mélangé et ai disposé mes petits tas de pâte sur une tôle, puis au four préchauffé à 180 degrés (8 à 10 minutes en position chaleur tournante, il faut surveiller !).
 
Le résultat : une grosse vingtaine de cookies au goût fameux et inédit, légèrement croquants au bord et moelleux à coeur...!
 
                 
 
Les « pépites » de chocolat étaient suffisamment grosses pour rester fondantes au centre, et le goût salé des noix fait toute la différence, contrebalançant le côté parfois trop sucré des cookies ordinaires...
 
Il peut neiger, nous sommes parés !
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14 décembre 2005 3 14 /12 /décembre /2005 12:22
Comment dit-on « sex shop » en chinois et à Pékin... ? :)
 
                              
                               "Adult Health Care"
 
Attention, on ne rigole pas quand il s’agit de la santé !
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