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16 avril 2006 7 16 /04 /avril /2006 16:28
Pâques est enfin arrivée.
Alors qu’en France vous vous prépariez tous à aller savourer le gigot d’agneau cuisiné par belle-maman, et que des quantités incommensurables d’oeufs et de cloches en (bon) chocolat avaient été éparpillées dans les jardins et n’attendaient qu’à être récoltées...
 
Pendant ce temps là à Pékin...
 
  
En très bonne compagnie, nous faisions une orgie de champagne, de caviar, d’huîtres, de sashimis, de foie gras poêlé, de viandes diverses et variées, et de desserts ahurissants.
 
Allez, je me tais, regardez plutôt !
 
  
  
 
Le brunch du Saint Regis, l’un des plus luxueux hôtels de Pékin (et aussi le premier à avoir pu accueillir des étrangers dans la capitale), est une référence en la matière.
 
Il aura tout de même fallut que nous attendions Pâques pour l’expérimenter, et quelle déception de ne pas être venus plus tôt !
 
Un régal pour les papilles comme pour les pupilles, un service impeccable, un cadre charmant, sur un fond de musique live...
 
  
 
S’il était plus abordable, on y passerait bien tous nos dimanches...
 
Joyeuses pâques à tous !
 

The St. Regis Beijing
21 Jianguomenwai Dajie
Chaoyang District
Tel : 6460.6688
朝阳区 建国门外大街21号
 
Brunch tous les dimanches au Garden Court, 398RMB + 15% service.
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14 avril 2006 5 14 /04 /avril /2006 06:26
Après plus d’un an ici je suis toujours surprise de trouver sur mon chemin un téléphone installé sommairement au beau milieu du trottoir...
 
 
On trouve ces téléphones publics (gōngyòng diànhuà 公用电话) un peu partout en ville à Pékin. Ils viennent en complément des cabines téléphoniques standard au look rétro qui permettent d’appeler uniquement en local.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Après avoir inséré une pièce de 5 jiao (0,5RMB, environ 0,05euro), on peut composer le numéro de son correspondant.
 
Quant aux appels depuis ces téléphones rouges, le tarif dépend de leur destination et... de la tête du client.
Il ne faut pas hésiter à négocier si le montant annoncé paraît exagéré ! 
 
En moyenne, pour un appel local de 3 minutes il faut compter 5jiao.
Le double pour une liaison longue distance (chángtú 长途), 2,5RMB pour un appel international (guójí 国际), et il n’est pas toujours possible d’appeler vers un téléphone portable (shoŭjī 手机).
 
 
 
Cependant, la grande majorité des Pékinois possède un téléphone portable.
Il était tellement difficile d’obtenir une ligne téléphonique autrefois qu’ils prennent maintenant leur revanche et s’endettent même parfois pour posséder le téléphone dernier cri combinant appareil photo, caméra, etc... En cas de batterie à plat... le « téléphone rouge » dépanne !
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11 avril 2006 2 11 /04 /avril /2006 09:22
Nous y voilà. La première édition de Let’s Beijing ! est en ligne !
 
 
Du 17 au 26 mars dernier a eu lieu à Pékin la semaine de la francophonie.
 
Pour rebondir sur ce récent évènement, Camille, Matt et moi-même vous proposons une petite vidéo tournée à proximité - et à l’intérieur - de l’immense librairie-bibliothèque située à Xīdān, Xīdān túshū dàshà, 西单图书大厦.
 
Pour la visionner, il suffit de cliquer ici.
 
   
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10 avril 2006 1 10 /04 /avril /2006 08:58
Histoire d’oublier un peu le temps tristounet qui règne sur Pékin aujourd’hui, j’avais envie d’un peu de chocolat (comme si j’avais besoin d’une excuse... !).
Voici donc une recette que je ne me lasse pas de réaliser ces derniers temps : les financiers au chocolat de Jean-Paul Hévin.
 
Ils ont fait le tour d’un bon nombre de blogs culinaires depuis plusieurs mois déjà, et ce n’est pas pour rien.
La poudre d’amande les rend moelleux et aériens, et ils ont l’avantage de se congeler sans problème, pour en avoir toujours sous la main... très important en cas de crise d’hypochocolémie aiguë.
 
 
Financiers au chocolat de Jean-Paul Hévin
 
Ingrédients
(pour une douzaine de gâteaux - empreintes pour muffins)
 
- 150 g de chocolat noir (70% de cacao)
- 55 g de sucre glace
- 60 g de beurre
- 40 g de farine
- 40 g d’amandes en poudre
- ½ cuillère à café de levure chimique
- 150 g de crème liquide
- 110 g de blancs d’oeuf (environ 3 gros oeufs)
 
1. Porter la crème à ébullition sans cesser de remuer, puis la verser sur le chocolat en morceaux. Remuer délicatement jusqu’à obtenir une ganache lisse et brillante.
 
2. Mélanger dans un récipient : le sucre glace, la farine, la poudre d’amande et la levure chimique.
 
3. Faire fondre doucement le beurre sur feu doux et le laisser blondir jusqu’à ce qu’il devienne noisette. Le verser ensuite dans un autre récipient de manière à le refroidir et stopper la cuisson.
 
4. Fouetter les blancs d’oeuf - sans les monter - juste pour les casser, puis les incorporer délicatement au mélange farine-poudre d’amande. Incorporer le beurre fondu.
 
5. Incorporer ensuite cette préparation à la ganache en mélangeant toujours soigneusement.
 
6. Remplir des moules individuels, et les mettre au four préchauffé à 180°C pendant 20 minutes.
La cuisson terminée, laisser les financiers refroidir quelques minutes avant de les démouler.
 
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9 avril 2006 7 09 /04 /avril /2006 07:29

Si vous vous souvenez bien, il y a exactement 2 mois, Hesiem, Camille et moi-même vous annoncions la première rencontre des bloggers de Pékin.

La deuxième est lancée, et nous vous attendons nombreux le 27 avril prochain à partir de 20h00 au Bed Tapas & Bar !
 

 

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5 avril 2006 3 05 /04 /avril /2006 12:04
Ils ont encore frappé... les Chinois, oui, pas les petits hommes verts.
Tout récemment dans un supermarché de Pékin, j’ai découvert un produit que j’ai tout d’abord pris pour un autre.
 
 
Ador... désolée la photo n’est pas nette. 
Il s’agit vraisemblablement d’une ligne de produits pour les cheveux :  « hair savior focus repairing moisturizing mousse » est-il indiqué texto sur le flacon.
 
Ca me rappelle d’ailleurs l’Occitown... mais cette fois c’est uniquement le packaging qui a été copié.
 
 
Quoi qu’il en soit le flacon et le logo sont suffisamment bien imités pour qu’on puisse s’y tromper...  enfin, juste le temps de se rendre compte que le nom est différent.
 
Quoi quoi quoi ?
Ne me dites pas que vous ne reconnaissez pas...
  
Roc (division de Johnson&Johnson), la célèbre marque qui s’occupe de notre peau et de notre cellulite (enfin la vôtre peut-être :) ).
 
Impossible de trouver la moindre information sur internet concernant le produit au packaging outrageusement copié...
 
Un site, tout de même, qui propose des produits capillaires chinois portant le même nom, Ador.
 
Enquête à suivre... !
 
 
 
 
 
 
 
Et comme aujourd’hui c’est l’anniversaire de ma petite soeur...
Joyeux anniversaire ma Bullette !!
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3 avril 2006 1 03 /04 /avril /2006 07:11
Un dimanche sous le signe de l'été.
 
Grand retour de la chaleur, du soleil, des arbres en fleurs et des terrasses pékinoises... un seul mot d’ordre : en profiter !
 
   
 
Déjeuner tardif à la terrasse du (nouveau) restaurant The Olive, situé sur Gongtibeilu, en face du Worker’s Stadium.
 
La carte est certes assez limitée, mais le taboulé aux légumes croquants (45RMB), servi tiède, était à la hauteur de nos espérances, et la tartine brie-tomate-jambon de parme-basilic (40RMB) au délicieux accent méditerranéen avait un petit goût de trop peu...
Les jus de fruis frais (25RMB) et smoothies (30RMB), variés, arrivent à point nommé.
C’en est fini des trottoirs poussiéreux et bruyants de Sanlitun, nous savons maintenant où aller boire un mocca (à tomber), un capuccino (30RMB) ou juste un véritable expresso (20RMB, environ 2 euros).
 
La présentation des plats est soignée et originale, ce qui ne gâche rien.
Absorbée par la douceur de cette journée, ce n’est qu’au moment de la tarte au citron-citron vert (plus une consistance de flan, néanmoins délicieuse !) que j’ai pensé à vous...
 
  
 
 
Ils servent également des petits déjeuners, et la prochaine fois, nous nous installerons à l’intérieur pour tester les plats de viande (80RMB en moyenne). A suivre...
 
 
 
Sur le chemin du retour nous avons croisé un charmant et attachant petit papy... un artiste !
 
Je suis depuis l’heureuse propriétaire d’une grenouille et d’un criquet en feuillage tressé.
 
 
 
 
 
 
 
Vivement le week-end prochain !
 

The Olive Restaurant  
No. 17 Gongtibeilu
(à l’opposé de la porte nord du Worker’s Stadium)
Chaoyang District - Beijing
Tel : 6417.9669
 
北京 朝阳区 工体北路 17 号
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31 mars 2006 5 31 /03 /mars /2006 05:47
 
 
Toujours dans le sable…
 
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29 mars 2006 3 29 /03 /mars /2006 00:00
On s’y attendait, chaque année des tempêtes de sable se produisent au moment du printemps (mars et avril pour les plus importantes) dans le nord de la Chine.
Oui, nous sommes en plein dans la période !
 
Il y a quelques jours à Pékin, nous avons donc pu en faire l’expérience.
Ces jours de tempête, le ciel, étrangement épais, revêt une teinte jaune orangée ; l’air devient lourd, chargé de particules de poussière et de sable, et prend une odeur significative de... poussière (essayez de mettre le nez dans le sac de votre aspirateur, ça vous donnera déjà un ordre d’idée) !
 
                                 Crédit photo People’s Daily
 
Un drôle de mélange sablonneux qu’un vent froid et violent, en provenance du nord-ouest, vous fait voler dans les yeux et qui croque affreusement dans la bouche.
 
La poussière, ce n’est pas bien compliqué, elle provient des nombreux chantiers en cours dans la capitale, mais qu’en est-il du sable ?
 
Il s’agit du sable en provenance du désert de Gobi, situé au sud de la Mongolie (grande comme 3 fois la France), elle-même enclavée entre la Russie et le nord de la Chine.
 
                  Crédit photo - Herwin Grauber
 
Le désert de Gobi (« espace semi-désertique » en mongol) couvre 30% du territoire mongole et ne cesse de progresser.
 
Ces tempêtes de sable ont en effet pour cause d’importantes désertifications (le désert se rapprocherait dangereusement de Pékin), et résultent de la collision d’un air chaud et humide avec des masses d'air froid qui stagnent sur le nord du continent asiatique.
 
 
                       Crédit photo Beijing Review
 
En 2003, Pékin a connu 32 tempêtes de sable, et le phénomène ne va pas en s’arrangeant.
La capitale chinoise est effectivement reconnue comme l’un des 4 territoires au monde à connaître le plus d’incidents liés aux tempêtes de sable !
 
Pour contrer le problème, le gouvernement chinois a mis en place un important programme qui consiste en la plantation d’arbres en vue de retenir le sable, et s’est associé à la Corée du Sud depuis 2002 pour mettre en place un système de surveillance et de prévision des tempêtes de sable.
 
 
 
 
 
 
 
 
En attendant... équipons-nous !
 
 
 

Désert de Gobi, plus d'informations et d'images : ici et
En savoir plus sur la Mongolie.
 

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26 mars 2006 7 26 /03 /mars /2006 06:20
Après deux semaines presque glaciales passées en France, retour à la douceur et au soleil pékinois.
 
Retour en beauté, même, puisque Yvaine nous fait le plaisir de partager sa recette de passion fruit curd, qu’elle a poètiquement renommée "crème d’or"
Je suis sûre que vous l’attendiez avec autant d’impatience que moi, alors trève de bavardage, voici la recette d’Yvaine en ses propres mots !
 
 
Recette pour 2 pots de 250gr:
 
- 18 à 20 fruits de la passion
- 150 g de sucre
- le jus d’un citron
- 75 g de beurre
- 3 gros œufs frais
 
Rincer délicatement sous l’eau les fruits de la passion, les déposer sur un torchon.
Ouvrir les fruits en deux, découvrir subjugué ce petit soleil dans son écorce violette, s’extasier de la couleur et du parfum, de toutes ces petites graines noires enchâssées dans leur gangue de pulpe jaune d’or…
Goûter les yeux fermés, se laisser envahir d’exotisme et inonder de soleil.
 
Puis à l’aide d’une cuillère, récupérer la pulpe et la déposer au fur et à mesure dans une passoire posée sur un grand bol. Récupérer 25 cl de jus en tamisant la pulpe. Réserver les graines.
Presser le citron.
 
Réunir dans une casserole le jus de fruit de la passion, le sucre et le jus de citron. Chauffer à feu doux pour faire fondre le sucre puis ajouter le beurre en petits morceaux.
Mélanger, retirer du feu.
 
Battre les œufs dans un bol et les ajouter au mélange en les versant à travers une passoire fine.
Poser alors la casserole sur un bain-marie frémissant (le fond ne doit pas toucher l’eau) et, sans cesser de remuer, porter le mélange à la nappe épaisse en une dizaine de minutes (il ne doit pas bouillir).
 
A ce stade, la cuisine est embaumée et le mélange s’est changé en une crème douce et suave.
Retirer du feu, ajouter si l’on veut 1 à 2 cuillères à soupe des graines réservées pour l’esthétique et le plaisir à la dégustation (on peut bien sûr faire une version sans graines), remuer, mettre en pots préalablement stérilisés (au four th 4, 120°C, pendant 10mn), couvrir à chaud.
 
Cette crème d’or, exquise sur une tartine grillée, une tranche de pain d’épices, un scone juste tiède, peut aussi être ajoutée dans un yaourt ou dégustée à la petite cuillère.
Elle se conserve au réfrigérateur 3 à 4 semaines.
 
 
Note : pour 3 ou 4 pots, à offrir par exemple, les proportions (testées !) seront les suivantes,
- 25 à 30 fruits de la passion, pour obtenir 37 à 40 cl de jus
- 225 g de sucre
- le jus d’un citron et demi
- 110 g de beurre
- 5 œufs
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