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12 décembre 2005 1 12 /12 /décembre /2005 00:00
Une cuisine « fusion », inventive, combinant saveurs asiatiques et occidentales ; un point de vue étonnant sur la Cité Interdite et ses douves (gelées en cette soirée du 10 décembre) ; le tout dans un cadre élégant et spacieux, aux murs habillés de photographies et peintures chinoises contemporaines... c’est du restaurant « The Courtyard » qu’il s’agit !
 
                                      
                                       La Cite Interdite et les douves...
 
Situé à proximité du quartier de Wangfujing, et surtout à deux pas de la porte Est de la Cité Interdite, ce restaurant a été restauré dans le style des anciens « courtyards » chinois.
Ainsi, masquée par une haie de bambous, sa façade de briques grises est parfaitement dans le ton des hutongs alentours.
 
                            
 
« Courtyard », « siheyuan » en mandarin, c’est le nom de ces maisons typiquement chinoises, construites autour d’une cour à ciel ouvert. Pour tout savoir sur les « siheyuan », je vous conseille d’aller jeter un oeil par ici.
 
A l’intérieur, rien à voir avec les « siheyuan » traditionnels au confort particulièrement sommaire, on découvre bien au contraire une atmosphère moderne, sobre et chic.
L’étage, agrémenté de canapés et fauteuils en cuir, fait office de « cigar lounge », et au sous-sol, un petit escalier mène à une galerie d'art où sont exposées des oeuvres régulièrement renouvelées.
                      
                            
                              L'expo du moment...
 
Au menu donc, puisque là est l’essentiel... tempuras de crabe à carapace molle et ketchup de banane, quenelles de thon et saumon en sashimi pour les entrées, puis joue et filet de veau, riz aux herbes et lotus caramelisé (après avoir longuement hésité avec le « cashew-crusted lamb chop »), et des coquilles Saint-Jacques à la plancha pour Chris.
Quant aux desserts, j’ai jeté mon dévolu sur une délicieuse tarte ganache au chocolat parfumée au thé au jasmin, et Chris sur une crème brûlée au gingembre et à la citronnelle.
                               
                                 
                                   parce que je ne m'en lasse pas... :)
 
Enfin, la cerise sur le gâteau... pour qu’on ne s’y trompe pas, la serveuse a finalement apporté une délicieuse (oui, je l’ai mangée aussi) petite crème brûlée à la banane dans laquelle était plantée une bougie !
                               
                                 
 
Les plats étaient très fins, la présentation soignée... et un autre bon point, la carte des vins est considérable et le choix de ceux servis au verre relativement important.                  
 
Une adresse pékinoise à conserver précieusement !
                                     
 
The Courtyard Restaurant
95 Donghuamen Dajie - Dongcheng District
Tel : (10) 6526 8883
Ouvert le soir uniquement, tous les jours, de 18h00 à 21h30.
A la carte (pas de menu), compter en moyenne 400 RMB/personne, boissons comprises.
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11 décembre 2005 7 11 /12 /décembre /2005 10:23
Hier soir, avec quelques heures d'avance, j’ai soufflé une bougie supplémentaire... !
C’était beau, c’était bon et c’était là :
 
                               
 

   

Je vous en dis plus demain !
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9 décembre 2005 5 09 /12 /décembre /2005 06:46
Récemment, à l’entrée du « salon de beauté », chinois, qui se trouve à proximité de chez nous, une jeune fille distribuait des prospectus...
 
                             
 
La promotion du moment... le men’s package !
Pour la modique somme de 239 RMB (environ 24 euros), au lieu de 385 en temps normal, voilà de quoi se compose le fameux « package » :
 
- Manucure
- Modelage des mains - 30 minutes. On vous laboure masse les mains, mais aussi les bras, les épaules et parfois la tête (oui, avant qu’on me reprenne, en français, le terme « massage » est réservé aux professions qui relèvent du médical)
- Pédicure
- Gommage des peaux mortes et callosités
- Massage des pieds - 40 minutes
 
Ainsi que :
- Un cigare. Vous aurez noté la délicate attention d’offrir aux femmes la possibilité de l’échanger contre la pose d’un vernis de la marque OPI, au beau milieu d’un salon enfumé...
- Une « consommation » à choisir parmi la liste de 12 cocktails
- Et une sélection de films !
 
Que demande le peuple ?!
Moi par contre, c’est sans problème que je vous laisse ma place.
 
Pour tout savoir sur les massages en Chine... un petit tour à Shanghai, chez Julien, s’impose.
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7 décembre 2005 3 07 /12 /décembre /2005 00:00
Mùtiányù, c’est une partie de la Grande Muraille.
Celle-ci est beaucoup moins fréquentée que Bādálĭng, le point de rencontre de tous les cars de touristes chinois et étrangers.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Aux moments de l’année les plus fréquentés ("golden week" précisément), cela devient infernal : on se retrouve à suivre pas à pas son voisin de devant, à se faire pousser par ceux qui suivent, et à attendre parfois plusieurs minutes pour pouvoir avancer lorsque le passage se fait plus étroit !
Il faut alors jouer des coudes, résister au brouhaha des haut-parleurs des guides accompagnant les groupes, éviter les marchands ambulants et anticiper la destination du crachat de son voisin... comme parcours de santé, on a vu mieux.
 
Alors cette fois-ci, avec Seb et Aline toujours, nous avons décidé d’aller explorer un autre endroit de la Muraille, plus typique, plus paisible, j’ai nommé Mùtiányù.
 
Nous n’allions pas attaquer cette excursion le ventre vide.
Alors après un peu moins de deux heures de route depuis Pékin, nous rejoignons un restaurant... de poisson.
 
 
        
               
 
 
Le principe ne semblait pas évident de prime abord : pêcher sa truite pour pouvoir la manger ensuite. Et effectivement... il faisait froid, les poissons n’étaient pas affamés, nous n’avons donc pas été très patients, et c’est finalement à l’épuisette que nous avons attrappé notre repas, bien plus efficace !
 
Après avoir choisi le mode de cuisson (grillées au barbecue) de nos 2 truites dodues (2 kilos au total) et sélectionné, crus, les légumes que nous allions voir arriver cuisinés peu de temps après sur la table...
 
 
       
             
                    
Nous observons un instant notre « sauveur à l’épuisette » vider les poissons. Les nombreux chats de la maison attendent, prêts à bondir pour dérober une arrête ou un autre morceaux sanguinolent.
 
 
           
                                      
 
Quelques cacahuètes, un thé bien chaud... et arrivent nos poissons, entiers, merveilleusement grillés et agrémentés d’herbes et d’épices, ainsi que des aubergines caramelisées, de la pomme de terre râpée mi-cuite, des brocolis à l’ail... un vrai festin !
 
Le temps passe vite, 14h00 déjà, il est grandement l’heure de rejoindre la Muraille si nous voulons rentrer avant la nuit.
Nous empruntons alors un chemin de montagne caillouteux qui part du restaurant.
 
 
   
                
 
 
 
 
 
Une petite heure de marche, et nous atteignons l’une des portes de la Muraille. Nous y voilà.
   
 
 
                
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Nous sommes quasiment les seuls à escalader cette partie du mur, et c’est particulièrement appréciable.
 
Je dis bien escalader, car les marches sont vraiment de taille démesurée !
 
Rapidement nous apercevons les téléphériques, puis un véritable circuit... celui des « luges ».
 
 
  
               
 
 
 
 
 
 
A nous la descente infernale ? En fait non, à l’aide du « frein a main » chacun glisse à son allure.
 
                       
                          
 
C’est ainsi que nous regagnons le parking, bordé de nombreuses échoppes de souvenirs, et par lequel les touristes débarquent.
 
Une balade qui sort des sentiers battus donc. C’était la première fois que j’appréciais vraiment une balade sur la Muraille. A refaire sans hésitation !
 
 
              
 
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5 décembre 2005 1 05 /12 /décembre /2005 12:43
Encore une histoire de fesses sur ce blog, me diront certaines... :)
 
Mais là vous ne pouviez pas y couper...
En effet, en arrivant à Pékin, le phénomène saute aux yeux et intrigue.
 
La plupart des jeunes enfants, jusqu’à l’âge de 3 ans environ, sont vêtus de pantalons dont l’entre-jambe est très largement fendu.
 
                       
 
Il ne faut donc pas s’étonner de voir ces petits Chinois s’accroupir dès que l’envie leur prend...
 
                           
 
L’explication est principalement économique : pas de frais de couches, dont le coût est particulièrement élevé en Chine, ce qui les rend inaccessibles pour la majorité des familles chinoises.
 
Curieux, donc, de voir ces petites fesses potelées et rebondies dépasser du pantalon...
Surprenant de découvrir parfois un pipi au détour d’un rayon de supermarché...
 
Et avec les -5 degrés que nous avons en moyenne ces derniers jours à Pékin, j’ai froid aux fesses pour eux !
      
              
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2 décembre 2005 5 02 /12 /décembre /2005 00:00
Suite et fin de notre week-end dans le Shanxi.
 
Nous aurions bien passé plus de temps au domaine de Grace Vineyard, mais il était temps, désormais, de prendre la route pour rejoindre Pingyao, située à 2 heures de route de là.
 
Fondée sous la dynastie des Zhou (entre le 11ème siècle et 256 avant J.-C.), puis agrandie en 1370 sous celle des Ming, Pingyao a une histoire vielle de plus de 2000 ans.
Exemple exceptionnellement bien préservé de cité chinoise Han traditionnelle, la ville a été inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco en 1997.
      
              
 
En effet, Pingyao est actuellement la seule ville de Chine totalement préservée, telle qu’elle l’était il y a plusieurs centaines d’années.
Pas d’édifice moderne, uniquement des petites ruelles étroites, de vieux temples et des maisons construites autour de cours qui donnent un aperçu unique de la structure des villes sous la Chine impériale. 
 
            
 
Les imposants édifices liés à l'activité bancaire rappellent que Pingyao fut le centre bancaire et financier de toute la Chine sous la dynastie des Qing au 19ème siècle et au début du 20ème siècle... avant de tomber dans la misère, faute de fonds pour se moderniser, le comble !
 
  
 
La ville est encerclée par un mur d'enceinte d’une longueur de 6,4 km, fait d'argile et revêtue de briques.
De forme carrée, cette muraille est haute de 12 mètres et épaisse de 5 mètres en moyenne. Sa partie supérieure est constituée de 3000 créneaux, et elle est protégée à l'extérieur par une douve profonde de 4 mètres.
 
La muraille comporte six portes : deux à l’est, deux à l’ouest, une au sud et la sixième au nord. Celles-ci ont valu à Pingyao le surnom de « ville tortue » : les deux portes du sud et du nord font penser à la tête et à la queue de la tortue, et les quatre portes de l'est et de l'ouest sont comme ses quatre pattes.
 
Plusieurs de ces maisons construites autour de cours ont été transformées en musées, la plupart ayant été, à l’origine, les maisons ou bureaux des riches banquiers de Pingyao.
            
                
 
N’ayant que peu de temps pour visiter la ville (environ 5 heures, au grand regret de notre guide anglophone, selon lequel il faut compter 3 jours !), nous avons parcouru Pingyao grâce à l’une de ces petites voitures « avec chauffeur », très répandue dans la ville fortifiée.
           
                   
 
Après avoir fait le tour de la muraille, nous avons silloné les étroites ruelles grises bordées de boutiques, de petits restaurants et de « guest houses », puis visité une de ces maisons de style ancien, datant de l’époque impériale, aujourd’hui encore habitée et conservée en l’état.
 
  
A l’étage, la grande pièce était réservée aux femmes, et elles n’avaient pas le droit d’en sortir...
 
Installés dans notre bolide, nous avons pu croiser, au détour d’une ruelle, plusieurs décorations comme celle-ci.
   
              
 
Notre guide érudit nous a expliqué que les familles fabriquaient ces parures en l’honneur d’une personne défunte.
 
Elles sont ornées de fleurs aux couleurs éclatantes et vives lorsqu’il s’agit du décès d’une personne âgée (plus de 60 ans), et tapissées de fleurs blanches (couleur du deuil en Chine) pour une personne décédée jeune.
Les défunts sont veillés chez eux de 5 (pour un jeune) à 9 jours (pour une personne âgée) : la famille et les amis se recueillent ensemble et chantent au son d’une musique traditionelle.
 
La visite est  terminée... le temps de flâner encore un peu dans les ruelles, à pied cette fois, de se réchauffer autour d’un thé bien chaud, et nous devons déjà reprendre la route pour l’aéroport de Taiyuan.
 
               
 
Voyage de nuit sur les routes non éclairées du Shanxi.
Une quatre voies non balisée qui passe à huit voies lorsque notre chauffeur décide de doubler un camion qui double un tricycle qui dépasse lui-même un piéton... tout ça à vive allure, toujours sans lumière et parsemé de nombreux vélos aux propriétaires inconscients.
 
Nous sommes étonnés d’arriver sains et saufs... ravis de notre séjour, et heureux de retrouver Pékin qui nous semble si moderne !
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1 décembre 2005 4 01 /12 /décembre /2005 12:11
Rien ne va plus, c’est la méga ca-ta, vous n’imaginez même pas.
 
J’ai envisagé tous les scénarios possibles et inimaginables... Non franchement, si ce n’était pas sérieux, je ne vous en parlerai même pas, vous vous doutez bien.
L’incroyable, que dis-je, l’insoutenable a fini par arriver.
 
Vol ? Assassinat ? Conflit commercial ? Drame industriel ?
 
Mais bon sang, si quelqu’un peut m’expliquer ce qui se passe à Pékin...
 
Les rayons de toutes les épiceries de produits importés et des supermarchés de Pékin sont vides de pots de Nutella !
         
           
 
Comment cela se fait-il que depuis plus d’un mois maintenant il soit impossible de mettre la main sur un pot de quelconque taille qu’il soit ?!
 
Mon désarroi est total...
Je lance un avis de recherche à la cyber population pékinoise... où trouver du Nutella ??
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30 novembre 2005 3 30 /11 /novembre /2005 00:00
Ce week-end passé dans le Shanxi a pour origine une agréable rencontre que nous avions faite lors du Salon du Chocolat qui s’est déroulé pour la première fois à Pékin en juin dernier (souvenez-vous, c’était ici).
 
Nous avions en effet été captivés par la conférence co-animée par Gérard Colin, oenologue français à Grace Vineyard, domaine vinicole situé dans la province du Shanxi.
C’est là que nous avions appris qu’il était possible d’aller passer quelques jours au domaine, le visiter, ainsi que ses celliers, et bien sûr déguster la production.
               
                    
 
La visite de Seb et Aline nous donnait l’excuse parfaite... leur faire découvrir un autre aspect de la Chine ! :)
 
Réservations faites, nous décollons samedi matin pour Taiyuan, la capitale du Shanxi, province qui détient un tiers des réserves de fer et de charbon de la Chine !
 
Cinquante minutes de vol depuis Pékin (le trajet est également faisable en train à condition d’avoir la possibilité de partir la veille au soir, le trajet dure environ 8 heures, ou encore en bus !), et nous ne sommes pas particulièrement surpris de découvrir, en sortant du tout petit aéroport, un épais brouillard pas très net. Le guide du Lonely Planet décrit en effet Taiyuan comme étant « la troisième ville la plus polluée au monde »...
 
Grace Vineyard se situe à une quarantaine de kilomètres au sud de Taiyuan, et c’est donc après une petite heure de route que nous découvrons enfin le superbe domaine : de magnifiques bâtiments d’un blanc immaculé, dans le style de ceux que l’on peut trouver dans le bordelais, et qui contraste donc parfaitement avec le paysage que nous venions de parcourir !
 
 
 
Nous sommes accueillis et pris en charge par la sympathique miss Zhao, qui, après nous avoir fait visiter les différentes salles de dégustation, nous invite à passer à table.
 
  
 
Le plateau tournant se remplit rapidement de plats chinois divers et variés : crudités, omelette, légumes, boulettes de viande, jiaozi, oeufs durs marinés... le tout généreusement accompagné de la cuvée spécialement sortie de la cave de Liang Baiji, l’oenologue chinois, un délicieux vin rouge dont il a le secret, ainsi qu’un Chardonnay.
Notre dîner quant à lui, aura été exclusivement arrosé de vin rouge, un Cabernet Sauvignon 2003.
 
Aussitôt après le déjeuner, repus et la mine réjouie :), nous enchaînons avec la visite des celliers et la dégustation de vins à diverses étapes de leur élaboration...
      
                    
 
Liang Baiji, chimiste de formation qui se dit « élève » de Gérard Colin, et visiblement passionné de bons vins, n’est pas avare en explications, à notre plus grand bonheur.
 
Nous passons un savoureux moment à découvrir les différentes étapes de la vinification au milieu des cuves et des fûts de bois acheminés de France et d’un peu partout dans le monde.
 
  
La journée est déjà bien entamée, et il est temps d’aller nous aérer un peu. Les vapeurs alcoolisées commencent sérieusement à nous gagner... bien que nous n’ayons pas vidé systèmatiquement nos verres !       
           
                                      
                                le seau du professionnel...
 
Les pieds de vigne, à l’origine importés de France, avaient été fraîchement enterrés, en prévision des grands froids et gelées que le Shanxi peut connaître... et nous avons pu observer les ouvriers recouvrir les derniers ceps encore visibles.
 
  
 
Nous n’étions bien entendu pas seuls...
 
 
 
                                                      une pensée inévitable pour Brigitte ! :)
 
Au bout du chemin qui nous mène à travers les vignes de la propriété nous découvrons un paysage impressionnant. 70% du territoire du Shanxi est montagneux, et quelle montagne...
           
                
               le grand canyon ?!
 
Poussés par la fraîcheur du soir, nous regagnons finalement la propriété... et nous achèverons cette formidable journée autour d’un Muscat rosé 2004, celui même que nous avions découvert lors du salon du chocolat !
 
   
 
Un séjour épatant, à refaire en été, dixit Chris, et nous n'y manquerons pas. :)
Le seul regret est de n’avoir pu rencontrer Gérard Colin, puisque nos avions se sont croisés... mais maintenant que je le sais lecteur du Blog de Riz, j’en profite pour le saluer et le remercier !
 

Détails pratiques :
 
Shanxi Grace Vineyard Co. Ltd
Dongjia, RenCun, TaiGu, Shanxi Province, China 030800
Tel : (86) 354 644-9188 Fax: (86) 354 644-9319
Allez voir le site : ici
 
A Pékin, les épiceries Jenny Lou, au logo jaune et vert, distribuent les vins de Grace Vineyard.
Les autres points de vente en Asie et en Europe : ici 
 
Beijing-Taiyuan par les airs : Hainan Airlines et China Eastern Airlines, entre autres, effectuent la liaison (6 vols par jour !). Il faut compter entre 800 et 1000 RMB pour l’aller-retour.
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28 novembre 2005 1 28 /11 /novembre /2005 16:30
Nos visiteurs sont partis et déjà presque arrivés en France... (après 10 heures de vol, eux doivent se dire enfin).
 
Merci à Seb et Alinette de nous avoir autant gâtés, camembert au lait cru, tomme de Savoie, saucisson, chocolat, bonnes bouteilles de vin, et j’en passe, sans oublier la douillette bouillote qui a d’ores et déjà largement contribué à adoucir cet hiver pékinois... !
 
Je viendrai vite au rapport en ce qui concerne notre escapade... dans le Shanxi (dont une partie du week-end à Pingyao, en effet !), et je vous raconterai également notre journée de pêche à la truite avortée suivie de « l’escalade » de la Grande Muraille !
 
Quel suspens me direz-vous...
 
Pour le moment je vous laisse en compagnie des baigneurs de Houhai, le lac situé derrière la Cité Interdite, pas frileux pour un yuan...
(un minimum de moins 1 pour un maximum de 8 degrés ce 26 novembre 2005 )
             
              
                 Pékin, 26 novembre 2005
             
               
                 Pékin, 26 novembre 2005
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23 novembre 2005 3 23 /11 /novembre /2005 04:46
Je n’ai pas été très active ces derniers jours et ça va durer encore un peu... nous avons de la visite de France, chouette alors !
Je vous raconterai très prochainement le superbe week-end que nous avons passé... quelque part en Chine !
 
Quelques photos pour vous faire patienter.
 
   
 
    
 
   
 
    
 
A très bientôt !
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